Renouvelle-toi !

La vie a pris un ton monotone,on fait les choses par habitude ou parce que tout le monde le fait. Une sorte de routine. Est-ce pour cela que D-ieu a créé le monde?

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le rabbin Lazer Brody

Posté sur 05.04.21

La vie a pris un ton monotone,ont fait les choses par la force de l'habitude ou parce que tout le monde le fait.Une sorte de routine.Est-ce que c'est pour cela que D-ieu a créé le monde? 

Quelle est le but de la Création? Pourquoi Hashem a créé le monde?

Pour qu'on puisse arriver à louanger et remercier D-ieu, exactement comme les anges le louangent a chaque instant et n'oublie pas leur rôle, car eux ne l'oublions pas, n'ont pas été doué du Yetser hara. Mais nous sommes influencer de mauvais penchants et nous ne ressentons pas le renouveau de chaque matin. Nous ne faisons pas attention comment la création se renouvelle, c'est pourquoi nous oublions de remercier. Notre vie a pris un ton monotone, nous faisons Birkat hamazone car nous avons finit de manger et nous prions car tout le monde le fait…

Le cercle de cette routine est en fait représenté par la lettre Sameh'« ס» qui est un cercle. Lorsqu'on dessine un cercle nous savons exactement ou va t il se terminer car ca va arriver exactement au même endroit où nous l'avons commencé. De la même façon le Satan se soucis de nous faire oublier le renouveau de chaque matin, le nouveau levé, qui est un mérite qui nous est donné à nouveau chaque jour comme un carte Visa sans frontière. La lettre Sameh' représente le Satan…

D'un autre coté, les Bikourims -le commencement de la récolte- représente le renouveau, car une personne va dans son jardin est voit une figue qui s'ouvre. Il se réjouit du renouveau et lui met un signe pour pouvoir l'apporter au Beit hamikdach. L'essence des bikourims est de donner un remerciement à D-ieu sur les bienfaits qu'il donne et donnera.

A notre grande douleur, quelque chose des vents qui soufflent dans le monde est entrer dans notre Nechama, l'habitude fixe et la routine de tous. Nous vivons dans l'ombre de la coutume de l'endroit et des créatures et nous n'osons pas y en sortir. Celui qui ose quand même mérite les surnoms de «Fermé», «fanatique» etc, bien que la vérité soit que celui qui sort du cercle, est celui qui mérite de vivre vraiment et de faire ce qui est juste a faire.

Moche Rabenou nous indique que le but est unique-« te demande uniquement, c'est de craindre l'Éternel, ton Dieu». La crainte de D-ieu est la pensée qui se trouve dans le cerveau. Hashem veut le cœur c'est-à-dire la bonne pensée de chacun.
Ici vient le Rambam et pose la question: «Comment est-il possible de demander à l'homme d'aimer D-ieu l'eternel ? Comment est il possible d'ordonner au cœur, est il possible d'ordonner à quelqu'un de marcher et sauter en même temps? »

La réponse est, que si D-ieu nous a ordonné de L'aimer cela nous dévoile la force qu'il encra en nous de pouvoir le faire, et a nous la responsabilité de laisser la tête en dehors de l'eau et de flotter. De ne pas se noyer dans les taches journalières et dans la routine et ainsi, Has vechalom, d'oublier D-ieu. C'est le chemin pour acquérir la crainte divine.
Qui sont ceux qui empêche l'autel[Mizbeah']qui se trouve nous, sur lequel brule tout le temps le feu ?  Pourtant nous savons exactement ce que nous devons faire alors qu'est qui nous filent entre les doigts ? Dans le langage de l'armée ont dit: «Connait l'ennemi!» Lorsqu'on sort accomplir cet ordre, nous dévoilons trois  choses qui empêche la pensée sainte: la routine, la paresse, et  le confort.

La routine– le contraire de la joie et l'admiration du cœur dans le renouveau de chaque instant.

La paresse– Difficulté et lourdeur. Comme l'a expliqué, le maguid de Doubno, ce la ressemble a un diamantaire,  qui voyage de ville en ville. Une fois, il se logea dans un hotel et un envoyer de la poste arriva pour lui apporter sa valise, et que cette fois sa valise était vraiment très lourde. Sur le coup le diamantaire tomba dans les pommes et après l'avoir, le postier lui demanda une explication a ce comportement: «Tu t'es trompe de valise ce n'est pas la mienne. Et comment je sais cela sans l'avoir ouverte car dans ma valise il n'y a que des diamants. C'est un colis très chère mais pas lourd du tout. Si tu sus tellement surement c'est le signe que c'est n'est pas ma valise maintenant il ne me reste plus qu'a pleurer sur ma perte».
Le prophète Yishayahou dit: «Et pourtant ce n'est pas moi que tu as invoqué, Jacob! Non, tu t'es fatigué de moi, Israël! »Si mon service te fatigue c'est le signe que ce n'est pas le mien»

Le confort-je suis bien comme ca! Apres tellement d'années ou je me suis habitué à vivre comme ca, vous voulez que je change ? Ca fait 40 ans que je m'énerve sur ma femme parce qu'elle a oublier de mettre la salière sur la table, soudainement vous me demander d'arrêter ?!

Il nous est confortable de rester coincés dans nos vieilles habitudes et de ne pas penser a changer. La personne ne pense pas qu'au lieu de crier jour après jour sur sa femme, il vaut mieux qu'il se lève l'apporter lui-même. C'est dommage de ne pas faire attention au bon plat qu'elle a préparer et de s'énerver seulement sur la salière qu'elle oublia de poser sur la table…
Le Saint Rav, Rabbi Moche leib de Sasov avait l'habitude de voyager de ville en ville afin de renforcer les juifs de chaque endroit. Mais il avait coutume de commencer toujours par entrer tout d'abord dans le Talmud Tora de l'endroit.

Ce matin, le Rabbi entra dans une classe d'enfant de 5 ans, qui etudie le Houmach et dévoila que le maitre n'est pas arrivé, pour une raison quelconque. Les enfants qui ont cherché quoi faire, ont demandé a un des enfants qui était très intelligent de prendre la place du maitre. A cet enfant avait un dictionnaire avec l'explication de l'hebreu en Yiddish et savait traduire beaucoup de mots. Ainsi il ouvra le houmach et commença a lire: «Voici [ele]- voila les».«les descendants[toldot]-les résultats» «Noah'[le nom de noah' qui se traduit aussi pas confort]-lorsque la personne fait ce qui lui plait» «Shem H'am et Yafet[les noms de ses enfants]- Son nom[Shem nom en hebreu], de bruler sa cervelle[H'am qui veut dire chaud] et de s'embellir[Yafet qui veut dire beau], il est tout le temps occuper par lui même »l'enfant continua celui qui ne polis pas ses caractères ses midots, reste avec la jalousie les envies et les honneurs et il n'y a pas de court chemin pour y arriver. A l'instant se leva le Rabbi de Sasov et dit: «Mon cours pour aujourd'hui j'ai appris, la leçon est grande et forte»!

Le serpent refroidit H'ava de l'enthousiasme d'écouter la voix divine, il lui dit «même si l'eternel l'a dit» alors qu'est qui a si D-ieu a demander de ne pas manger de l'arbre du savoir ? Cela car le serpent représente le confort, de faire ce qui m'est facile a faire et ce qui prend a faire maintenant sans attacher la volonté divine a mon action.

Celui qui se renouvelle et se souviens de D-ieu a chaque instant – ne vieillit jamais !il reste toujours avec un souffle jeune.
C'est une chose qu'on remarqua chez le Admour de Tzants qui a eu besoin de se faire operer et on lui posa la question dans quoi il travaille ? Alors il répond: «Je m'efforce a rapprocher la cervelle au cœur»

Que soit Sa volonté  que le Créateur imprègne en nous «Un cœur pure…et un souffle juste» [Tehilim 52]qu'on observe dans chaque feuille qui se renouvelle le contrôle divin dans son monde et Sa grandeur. 
 

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