Est-il déjà venu à l'esprit d'une personne juive de conseiller à une tierce personne – non juive – d'aller consulter un rabbin pour répondre à ses questions ? À l'exception des cas où cette personne envisage de se convertir au judaïsme, le conseil semblerait pour le moins inadéquat.
Également, peut-on envisager une personne non juive qui décide d'elle-même de rencontrer un rabbin pour la guider dans ses doutes existentiels ? Les amis-es de cette personne auraient vite fait de lui dire : “Il y a erreur sur la personne !”