Tout d'abord, une question se pose : comme tout dans ce monde dépend de la Providence divine et est voulu pour la réparation de l'homme et du monde, il est donc certain que la nature de la femme ne lui permet pas de supporter la critique. Pourquoi une telle disposition ? Quelle est sa signification ? Pourquoi la nature de la femme est-elle si sensible à ce propos ? Pourquoi n'a-t-elle pas une âme propre à supporter les remontrances ?
Un mari ayant une telle femme et qui souffre d'elle de diverses manières, doit savoir qu'elle n'est pas “mauvaise” en-soi. S'il en souffre, c'est qu'il le mérite, car il n'y a pas de souffrance sans faute. Si le Créateur lui a donné une femme désordonnée, malpropre, coléreuse, offensante, etc. il le mérite et pourquoi devrait-il se plaindre auprès de sa femme ? Est-elle responsable des souffrances qui lui reviennent ? Elle n'est que le bâton du Saint béni soit-Il et au lieu de lui faire la morale, c'est lui qui devrait recevoir les reproches du Saint béni soit-Il, justifier le décret céleste, s'éveiller et se repentir.