Du foulard à la burka…

La burka doit être interdite : dans la rue, au travail et au domicile des personnes. Cela doit être la réaction face à une pseudo religion dangereuse...

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David-Yits'haq Trauttman

Posté sur 06.04.21

28 ‘rechvan 5770 – 15 novembre 2009

Il existe des débats de société plus hilarants à suivre que les spectacles des humoristes. Celui que le gouvernement français a lancé ces dernières semaines à propos de l'identité nationale en fait partie. Le mensonge, la mauvaise foi, l'incohérence, le racisme et l'hypocrisie en sont les traits marquants. Tout cela serait sans grand intérêt sans la possibilité d'en tirer une leçon importante.
 
La France aime les arabes
 
Disons le haut et fort : le débat sur l'identité nationale – couplé avec celui du port de la burqa – ne révèle pas le peu d'amour qu'éprouvent les français pour les arabes. Le personnel politique le déclare à l'unisson : aucune mauvaise intention n'existe contre les maghrébins. Tous les français sont égaux et nous pouvons dormir sur nos deux oreilles : le prince de l'Élysée et ses serviteurs de Matignon veillent à notre sécurité et notre bonheur.
 
Bien sûr, certains diront qu'il s'agit du plus grand mensonge. Tout le monde sait ce que tout le monde dit à propos des arabes, de la violence, de l'insécurité et de la délinquance qui sont la marque de dépôt d'un nombre important parmi eux. Mais ce discours doit rester entre les murs de nos salons et ne pas faire de bruit sur les studios télévisés. Ne peut pas se prétendre le pays des droits de l'homme n'importe qu'elle entité politique.
 
Si la France aime ses arabes, cela doit se dire, s'écrire et se savoir. Les ministres le disent, les journalistes l'écrivent… mais personne ne le sait. La vérité est pourtant simple : tout le monde en a marre des arabes, de leur violence quotidienne qui nous empêche de nous promener tranquillement dans les rues, de leur violence verbale qui effraie dans le métro ou dans les bus. Tout le monde sait cela, mais dans les studios télévisés, tout le monde l'ignore.
 
C'est sans doute parce qu'ils l'oublient fréquemment que les journalistes en arrivent réellement à aimer les arabes… qui habitent loin de France et surtout s'ils habitent en Israël. En quelques secondes, l'arabe que personne ne désire voir dans son quartier, que tout le monde prie pour ne pas voir s'installer dans son immeuble et que les bonnes gens paieraient cher pour se débarrasser, devient un être attachant qu'il faut défendre. Le palestinien est un être adorable… aussi longtemps qu'il reste loin de la France.
 
Les français sont formidables : le débat sur l'identité nationale leur permet de faire comprendre aux arabes qu'on ne les aime pas, tandis que les nouvelles d'Israël leur permettent de leur dire qu'ils les adorent. Si j'étais arabe et que je vivais en France, j'irais immédiatement m'installer en Israël. Cela m'attirait finalement l'affection qui me manquerait tant des français !
 
Des droits universels pour européens incroyants
 
Le problème auxquels font face les français est simple : concilier des idées d'universalisme aux problèmes qui relèvent du particularisme. Le pays des droits de l'homme nous le dit : nous pouvons être religieux… si cela ne se voit pas. Facile pour un chrétien, mais plus difficile pour un juif ou une arabe. Paris le déclare : nous n'avons rien contre la religion, mais nos bureaux sont fermés pendant les fêtes chrétiennes… et ouverts pendant les autres.
 
Les leaders politiques l'affirment : le racisme n'a pas sa place sur le plateau des vaches, mais le président noir est à Washington, les députés juifs religieux au Canada et les élus arabes de la population au parlement israélien. Pendant ce temps, l'Élysée reste bien blanc, les ministres non religieux et les députés d'origine française.
 
Les français ont défini le monde dans lequel ils veulent vivre : un monde où tout le monde s'aime, principalement parce que tout le monde se ressemble. Lorsqu'il faut faire des entorses au concept d'universalisme, on se débrouille pour renverser la situation est faire du simple citoyen le problème.
 
Ainsi, le juif qui porte une kippa ne peut déjà plus aller à l'école française et d'ici peu de temps, la femme avec une burka ne pourra plus travailler à la poste. Bien sûr, dans les deux cas, il ne s'agit pas de citoyens qui ne demandent rien à personne et qui désirent simplement vivre leur foi ; plutôt, il s'agit de comportements inadmissibles, incompréhensibles…
 
L'hypocrisie n'est pas un vain mot. Je rappelle à ceux qui l'auraient oublié que la loi qui interdit le port du foulard ne comporte pas une seule fois le mot “arabe”, même si celle loi a été faite à leur encontre. Également pour la burka, je lis avec amusement les défenseurs des droits de la femme qui – évidemment – n'ont rien à reprocher à la religion per se.
 
Toute cette hypocrisie s'explique par cet universalisme et ces droits de l'homme qu'on désire appliquer à tout le monde… même contre le gré de certains de ses bénéficiaires supposés. Impérialisme, quand tu nous tiens !
 
Partisan du port de la burka ? Pas vraiment !
        
Avant que vous commenciez à penser que je défends le port de la burka, je m'empresser à sortir le carton rouge et à crier haut et fort : halte ! La burka doit être interdite : dans la rue, au travail et idéalement, au domicile des personnes. Cela peut paraître outrancier, mais cela doit être la réaction face à une pseudo religion dangereuse et qui est en train de ronger le monde.
 
Tant que les personnes bercées de la culture non juive occidentale n'auront pas ouvert les yeux et ne voudront pas l'admettre – au nom de la tolérance et de la liberté de religion – les arabes et l'islam dérangeront la vie d'un nombre de plus en plus grand de personnes à travers le monde. À Jérusalem les bus explosent à cause de l'islam ; en France la violence physique a atteint déjà un tel niveau à cause des arabes qu'on n'ose plus sortir le soir dans les rues.
 
Il existe une autre ironie. Les arabes de France qui se passionnent pour leur religion sont les derniers à vouloir vivre dans leurs pays d'origine. Il est bien plus agréable de profiter du confort de l'occident en l'insultant en même temps que d'avoir un minimum de logique et d'aller s'installer dans le pays de ses origines. N'est pas sioniste qui veut.
 
D'autre part, les arabes israéliens sont les derniers à vouloir quitter Israël. Dans ce cas aussi, les droits politiques et sociaux qui sont les leurs sont certainement plus agréables que ce qui se passe dans la plupart des pays arabes. Drôle de peuple qui réside chez son ennemi et qui ne désire pas rejoindre ses frères de combat !
 
S'il faut interdire le port de la burka, ce n'est pas pour défendre la femme arabe, mais pour essayer de se débarrasser d'une idéologie néfaste, dangereuse et incompatible avec le statut d'être humain. S'il faut enfoncer le clou dans le corps délirant de l'islam, c'est pour sauver l'occident.
 
Nous l'avons encore vu récemment. Il y a quelques jours, un musulman a crié : “Qu'Allah est grand !” avant de tuer d'une façon sauvage treize personnes. Ce monstre était né aux État-Unis ; il avait reçu une éducation d'un haut niveau, ce qu'il lui avait permis d'exercer la profession enviable de psychiatre au sein de l'armée américaine. Il est l'exemple parfait du mensonge que les défenseurs autoproclamés de la paix avancent pour expliquer la violence palestinienne. Selon eux, c'est la misère des faubourgs de Gaza et le manque d'éducation qui poussent les individus à se faire exploser au milieu de la population.    
 
Messieurs et mesdames qui vivent en France, les arabes que vous ne désiraient pas dans votre quartier sont les mêmes que nous ne voulons pas en Israël. Les arabes qui détruisent lentement votre pays sont les mêmes qui essaient de détruire Israël. Les arabes qui sont morts dans la récente guerre de Gaza – sous les bombes de l'armée israélienne – sont les mêmes que ceux que la police française pourchasse régulièrement, souvent au risque de la vie des policiers.
 
Permettez-moi de terminer par un vœu : celui que D-ieu vous ouvre les yeux avant qu'il ne soit trop tard. Si vous avez oublié depuis longtemps qu'un Créateur existe et que vous Lui devez la vie, cela n'est pas étranger aux difficultés que vous éprouvez de nos jours à mener une vie paisible et normale.
 
Faites un effort pour renouer le contact avec le Divin. Cela n'est pas difficile, ne nécessite pas d'argent et se trouve à la portée de tout le monde. Qu'avez-vous à craindre ? Pensez-vous réellement que la vie que mèneront vos enfants sera vivable ? Ne pas se poser la question est un acte irresponsable de la part d'adultes. S'il vous plaît, prenez le temps d'ouvrir les yeux avant qu'une main musulmane ne vous les ferme définitivement.  
 
 
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