N’ayez pas peur des ombres ?

Lorsque des agences de nouvelles éveillent notre peur- guerres, maladies, ou méchanceté des gens-le sens de cela est qu’on a perdu la vraie compréhension, on a oublié que ces dangers n’ont aucune force en elle même, mais sont seulement des envoyées de la force du jugement céleste.

Perdu dans un labyrinthe obscur, tripote le fauteur à la recherche d’une sortie. Il peut se balader comme ca pendant des années et en fin de compte complémenter avec la situation, tout en étant persuader qu’il n’y a pas de sortie.

S’il avait un peu réfléchi il aurait compris que la porte par laquelle il est entré vers l’obscurité peut lui être utilisé comme porte de sortie vers la lumière. Il faut se retourner et la trouver.

Pour retrouver la porte dans l’obscurité il suffit d’un éclair de lumière : Un mot franc, vrai, qui jaillit de notre bouche pendant qu’on se tourne vers l’Eternel, est un tel éclair qui peut éclairer toute la situation, nous montrer la porte, et changer notre existence.

Ce principe nous a été dévoilé par Rabbi nah’man dans son livre Likoute moharan [partie 1, leçon 112]. Les H’assidims ont l’habitude de dire que ce mot vrai et éclairant, il est presque sur qu’il sortira de la bouche de l’homme pendant les moments de descente, pendant un moment de crise, lorsque la personne se renforcera malgré la difficulté, de dire quelques mots devant Hashem.

Parfois, une seule heure peut suffire pour réparer des années d’erreurs !

Oui, ainsi est écrit dans la Guemara : «Il existe un qui acquiert son monde en une heure !»[יש קונה עולמו בשעה אחת]-les premières [en hébreu ] sont les lettres du nom Akiva[עקיבא] pour faire allusion au Tsadik qui est le maitre des Baalei Techouva et le Papa de ceux qui font Hitbodedout.

Une autre chose ont allusionne les gens d’Ouman dans cette heure : Sur cette heure, de se tourner vers hashem dans une discussion personnelle avec hashem dans tes mots[Hitbodedout] Rabbi Nah’man de breslev a promis quelle réparera tout, et acquerra a celui qui l’accompli son monde éternelle.

Evidemment vous poserai la question : Comment est-il possible que le fauteur répare une erreur qui est déjà passé et est envouté dans son passe ? Pourtant, la personne ne peut pas changer ce qui est déjà arrivé ?

Une réponse extraordinaire donne Rabenou dans son livre «Sefer hamidots» et écrit ainsi «LE jour ou la personne fait techouva est au dessus du temps»

Grace a la force des sentiments de remords et de techouva nous nous elevons au dessus du temps, nous atteignons l’endroit dans laquelle est «garder» l’erreur, on s’en occupe, la répare, et la renverse en son moment  en un bonus positif !

Ainsi dit le prophète : «prenez avec vous des choses [דברים] et revenez vers Hashem.»La Guemara qui parle au nom D’Hashem explique que ces choses sont des paroles [דיבורים].

Pas des jeunes, pas d’abstinence, pas de pénitence. Pour revenir a Hashem pour faire vraiment Techouva, il faut seulement prendre des mots et une heure par jour-et les diriger vers Hashem béni.

Si vous posez la question : D’où prend-on de telles paroles ?

La réponse se trouve a coté de vous. Dans les mots «Avec vous» [עמכם] qui sont écrit dans ce verset, c’est a dire –de ce qui est prêt et proche dans votre bouche- de la bas vous prendrez vos paroles.

N’ayez pas peur des ombres ? 

Rien que l’Eternel a le pouvoir, et sans Lui rien ne peut nous toucher. C’est pourquoi, nous devons craindre que D-ieu, et celui qui craint vraiment que D-ieu ne craint rien d’autre.

Mais lorsque des agences d’ici éveil notre peur- guerres, maladies, ou méchanceté des gens-le sens de cela est qu’on a perdu la vrai compréhension, on a oublié que ces dangers n’ont aucune force en elle même, mais sont seulement des envoyées de force du jugement céleste.  
 
Pour ne pas avoir peur des ombres il faut ramener notre crainte à sa source, à sa racine, c'est-à-dire a son niveau de conscience véritable. Alors, les dangers  et les menaces se vident : Ils n’ont aucun moyen de nous faire peur, car ils sont dirigés par la main d’Hashem Le Juste et Le Miséricordieux.  

Pour arriver a cela, c'est-à-dire arriver a la racine de la crainte et l'élever a son juste niveau –nous devons bien observer au fond de nous, de faire un bilan personnel fixe et pointilleux. Car celui qui se juge lui-même élève grâce a cela le jugement a sa racine [il ramène ces valeurs a leur racine première, la raison pour laquelle elles ont été créé qui est «de juger un vrai jugement et de craindre Le plus élevé].

En résultat de ca, il se rend quitte de tout autre jugement.

On n'a pas besoin de se surcharger, au contraire! Nous devons nous posez la question : Est-ce que en évaluant notre vrai valeur et nos capacités extraordinaires nos actes sont-elles en phases?

Lorsqu'on parle de jugement individuel, l'intention n'est pas à un jugement qui nous juge seulement de façon stricte et dure. Ce genre de travail amène au désespoir. Au contraire, a nous de se rappeler les bontés infinies que l'Eternel nous donne et que bien tous ces bienfaits nous sommes souvent des non-reconnaissants ou même ingrats.

A nous de peser nos actes de les opérer et de prendre sur nous des décisions selon les conclusions auxquels nous sommes arrivés. Alors, il faut les accomplir comme dit le concept : «Tu institueras des juges et des policiers dans toutes les …»«שופטים ושוטרים תתן לך בכל שעריך»-Avant tout un bon jugement et après cela une bonne écoute personnelle, pour accommoder notre comportement et les
conclusions de notre jugement.

Si on accompli ca alors on remarquera que chaque «fausse peur» nous quittera. A partir du moment ou on réussira a nous poser pendant la hitbodedout alors on ramènera la crainte a son vrai endroit. Rien ne pourra nous faire peur.

Evidemment qu'il est impossible d'arriver a cela en un jour. Mais, en se rapprochant de la crainte divine et rien qu'a elle, par le mérite de l'opération de nos actes, nous nous dirigeons vers la liberté et les perfectionnements ne tarderons pas a arriver et a nous renforcer.

Ce principe malgré son cote stricte ne contredit pas le concept de la miséricorde. Ce qui est stricte, la miséricorde et la recherche de la justice se complète l'un l'autre, car sans l'une l'autre n'existe pas. La réussite est lié à une température harmonieuse, la bonne dose pour qu'on puisse utiliser ces deux penchants.